17 octobre 2004
Quand je louche, je vois un bateau
Un échange de commentaires avec miss Lulu m'a rappelé, dans un éclair aveuglant et fulgurant en arrière (oui, un flash back, merci), m'a rappelé disais-je que je jouais souvent aux échecs à trois plutôt qu'à deux dans ma jeunesse (oui papy). Comment ? On ne peut pas jouer à trois aux échecs ? Gardez bien la pose et le sourire narquois, le temps que, tel un Garcimore du 21e siècle, je sorte de ma manche une photo du jeu Yalta.
Tadaa ! Hu, on fait moins les malins. Je l'avoue, j'ai tendance à cultiver mon goût pour l'incongru (Derrick contre Superman, c'est bon, regardez-en). Mais bien qu'incongru, ce jeu n'en est pas moins proprement jouissif. Bien sûr, si on fixe le plateau trop longtemps, on se retrouve dans la même situation que le type qui n'arrivait pas à loucher pour voir le bateau dans Mallrats (Mallrats, c'est bon itou, regardez-en). Mais je vous laisse deviner le regain d'intérêt qu'on peut éprouver pour le jeu d'échecs quand on a la possibilité de faire des alliances. Qui dit alliances dit trahisons, négociations, coups fourrés et coups de coude (normal, à trois autour d'un seul plateau). Hormis des déplacements légèrements différents pour des pièces comme la Reine ou le Cavalier, on retrouve les règles du jeu d'échecs traditionnel. L'ordre de jeu est Rouges, Blancs puis Noirs. De mon point de vue, les couleurs utilisées ne sont pas innocentes, rappelons que les trois participants de la conférence de Yalta étaient Roosevelt, Churchill et Staline (et allez, que j'étale ma confiture de culture). Notons enfin l'une des règles qui donne tout son charme à ce jeu : quand on a réussi un mat sur le roi d'un joueur, on contrôle alors ses pièces en plus des notres. Seul bémol, ce jeu coûte plus cher qu'un baladeur meupeutrois bon marché.
Flûte, je ne l'ai même pas mis dans ma liste des 42 gadgets indispensables. Hé bien, il sera en bonne position dans la prochaine.
Tadaa ! Hu, on fait moins les malins. Je l'avoue, j'ai tendance à cultiver mon goût pour l'incongru (Derrick contre Superman, c'est bon, regardez-en). Mais bien qu'incongru, ce jeu n'en est pas moins proprement jouissif. Bien sûr, si on fixe le plateau trop longtemps, on se retrouve dans la même situation que le type qui n'arrivait pas à loucher pour voir le bateau dans Mallrats (Mallrats, c'est bon itou, regardez-en). Mais je vous laisse deviner le regain d'intérêt qu'on peut éprouver pour le jeu d'échecs quand on a la possibilité de faire des alliances. Qui dit alliances dit trahisons, négociations, coups fourrés et coups de coude (normal, à trois autour d'un seul plateau). Hormis des déplacements légèrements différents pour des pièces comme la Reine ou le Cavalier, on retrouve les règles du jeu d'échecs traditionnel. L'ordre de jeu est Rouges, Blancs puis Noirs. De mon point de vue, les couleurs utilisées ne sont pas innocentes, rappelons que les trois participants de la conférence de Yalta étaient Roosevelt, Churchill et Staline (et allez, que j'étale ma confiture de culture). Notons enfin l'une des règles qui donne tout son charme à ce jeu : quand on a réussi un mat sur le roi d'un joueur, on contrôle alors ses pièces en plus des notres. Seul bémol, ce jeu coûte plus cher qu'un baladeur meupeutrois bon marché.
Flûte, je ne l'ai même pas mis dans ma liste des 42 gadgets indispensables. Hé bien, il sera en bonne position dans la prochaine.
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