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Le Blog du Wass
24 septembre 2004

Pas facile le matin

Bon, bilan de la bonne résolution : je me suis levé tôt, genre 7H, il est presque 12H et j'ai toujours pas emmergé. Ca passera d'ici une semaine. Je récupère le SP2 spécial geek déniché par kmlz. J'ai fait un petit saut sur son site, ça y est, je ne suis plus sur sa liste de lien. Snif. Mais bon, on s'en bat les corones, celui qui veut venir ici, il passe par la page d'accueil, hu.

Les entretiens d'embauche reprennent. Trois d'ici la fin de la semaine prochaine, je vais pouvoir remettre mon costume de super-wass. J'aime bien les entretiens, on vient tout beau, confiant, on improvise à partir de tout le travail de préparation qu'on a fait en fourbe pour se renseigner sur l'entreprise, tout ça. Ca me rappelle les matchs d'improvisation théâtrale. Tu viens les mains dans les poches apparement, mais tu as bossé à fond des répliques types et des signes secrets avec ton équipe pour pas te trouver con quand l'arbitre lance un thème comme "Les castors lapons sont-ils hermaphrodites ?" (forcément, on s'est glissé dans la peau d'une équipe de chercheurs d'outre-quievrain, avis aux cultivés). Le problème du théatre d'improvisation, c'est qu'il faut un public pour bien en profiter. Et on a pas toujours un public en délire sous la main.

Pour quand même s'amuser avec l'improvisation, on peut jouer à Il était une fois. C'est un magnifique jeu de cartes, avec de superbes illustrations qui mettent tout de suite l'ambiance conte de fée. Au début de la partie, chaque joueur se voit remettre des cartes qui représente un personnage, un objet, une action, etc., et une carte conclusion. Le but du jeu est de raconter une histoire qui utilise ces éléments. Quand on a la carte "un combat" et qu'on a dit "le prince défia alors le terrible magicien dans un combat sans pitié", on peut poser sa carte sur la table à la suite des autres cartes déjà posées, pour représenter l'histoire. Celui qui pose toutes ses cartes éléments peut alors poser sa carte conclusion ("Il vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants", "La malédiction se brisa à jamais", etc.) et gagne la partie. Bien sûr, l'histoire doit être cohérente et on ne doit pas laisser plus de dix secondes de silence, sinon les autres joueurs peuvent interrompre le conteur et il passe son tour. Des cartes spéciales, appelées cartes interruptions, permettent d'interrompre un conteur et de reprendre l'histoire à son compte, pour la diriger vers sa propre carte conclusion. Un jeu très sympa.

J'ai plein d'autres jeux très sympa itou. Et se balader avec un jeu sympa en poche, c'est un bon moyen de rencontrer des gens au hasard, il suffit de se poser dans l'herbe quand il fait beau et de proposer une partie.

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Commentaires
S
g tt le tps faim...
W
Quand on a vraiment faim, *tout* a un goût de poulet.
S
si ca a le gout du poulet moi je veux bien..
W
Sauvez un arbre, mangez un castor.
S
pourquoi les lapons? c du favoritisme... Vive tous les cators! (hermaphrodites ca va de soit...)
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